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Les histoires de Zeus sont de retour...
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21 août 2011

Le Train

Je voyage beaucoup, surtout pour le travail. Europe, Amérique du Nord essentiellement et bien sûr la France. En France je choisis plutôt le train. C'est un espace confiné où se déroulent des tas d'histoires.  Ma première aventure en train je l'ai vécue très jeune. Nous étions bloqués en gare de Nîmes pendant les inondations de 1988... J’étais jeune disais-je! Des kilos en moins, des cheveux longs, un look bon chic bon genre, bref un djeun de l'époque.

349_2832_blogLe train s'était immobilisé dans la gare, cette gare si particulière, perchée sur un viaduc qui traverse le centre-ville. Nîmes est une cuvette, et la ville était remplie d'eau.

Passé l'étonnement, la panique, les coups de fils éperdus pour prévenir des retards (pas de téléphone portable à cette époque et la quasi-totalité des lignes étaient coupées !), tout le monde s'était organisé pour résister à l'impatience. Je m'étais installé en première classe pour écrire confortablement (sur du vrai papier avec un vrai stylo !). Un canon passa à côté de moi. Le genre gravure de mode. Grande, élancée, blonde avec une coupe au carré. Elle s'arrêta au-dessus de mon épaule. Elle portait une jupette à carreau au dessus de bas très fins et un chemisier blanc immaculé. Au bout d'un moment elle me demanda si j'étais écrivain. Je confirmai, elle s'en alla sans un mot.

J'étais blême. On aurait dû engager une conversation non ? Pourquoi était-elle partie ? Un peu plus loin, elle arriva à sa place, dans le sens de marche opposé au mien. Elle se pencha pour fouiller son sac de voyage, sans plier les jambes. Vu la longueur de sa jupe, je fus ébloui par la vision d'une petit culotte tout aussi blanche que son chemisier. Je ne fus pas le seul d'ailleurs, la personne assise devant moi se pencha pour mieux voir. Puis la jolie blonde s'assit et croisa, tant bien que mal dans un train Corail, ses longues jambes, relevant à nouveau une partie de sa jupe.

t_349_2828 (2)Une bonne heure passa pendant laquelle la tournure de mon roman changea brutalement sous l'effet de la blonde, et profitant d'un aller-retour au toilettes, je m'arrêtai à sa hauteur. Et vous, vous êtes mannequin ? Spontanément, elle se déplaça vers le siège près de la fenêtre. Je pris cela pour une invitation à m'asseoir. Elle me raconta alors qu'elle était call-girl. Certes mannequin, cela avait été son rêve, ou comédienne, mais que call-girl la faisait vivre. C'était ma première rencontre avec une poule de luxe, ca ne devait pas être la dernière, mais cà, je ne le savais pas encore. Elle avait été commandée pour un week-end avec une personnalité de Montpellier mais c'était sûr, elle n'y arriverait jamais.

Nous discutâmes un long moment de son métier, du mien (lorsqu'elle apprit que j'écrivais pour une série à l'eau de rose, ça la fit beaucoup rire; fallait bien vivre tout de même!). Jusqu'à ce que, à moment où un ange s'écrasait lamentablement sur notre conversation, ses yeux bleus se firent câlins pour me dire que j'étais drôle et mignon. Je n'avais aucune idée de comment gérer cette situation affolante, mais elle si. Nous nous levâmes, descendîmes du train, la main dans la main. Elle me conduisit dans un endroit dont visiblement elle connaissait bien l'existence. Nous prîmes un escalier de service en colimaçon, ignorâmes les bandes rouges et jaunes non interdisant le passage. Arrivés au niveau de l'eau qui avait envahi le rez-de-chaussée de la gare, elle me dit que personne ne prendrait cet escalier aujourd'hui. Elle l'avait trouvé en cherchant les toilettes.

Bien que le lieu fût inconfortable, je l'oubliais rapidement pour commencer à lui caresser ses cuisses tout en l'embrassant. Elle me rendait la pareil, sa main se promenant sur mon sexe qui commençait à remplir mon slip. Lorsqu'il fut vraiment à l'étroit, elle dégrafa ma braguette et le sortit pour le masser fermement. Je dus la tempérer car à l'époque je n'aurais su me retenir longtemps. Pour la faire patienter, je lui caressais ses fesses par dessous sa jupe et commençait délicatement à lui enlever sa culotte. Mon autre main avait commencé à peloter sa petite poitrine à travers son chemisier. Je sentais bien qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Ces seins n'en avaient pas besoin du reste. Fermes, ils roulaient sous ma main.

J'étais moins porté sur les préliminaires à l'époque que je ne le suis aujourd'hui. Aussi, une fois sa culotte enlevée, je lui glissais  un doigt entre les cuisses pour lui ouvrir sa chatte. Elle soupirait, m'encourageant à poursuivre tandis qu'elle se plaquait à moi. Sa chatte était chaude et déjà bien humide. J'entrai deux doigts en elle, elle gémit. Mon pouce caressait en même temps son bouton sensible, tandis qu'elle m'encourageait de petit oui qui résonnaient dans la cage d'escalier et sur l'eau du lac involontaire.

349_2830_blogElle décida de s'asseoir quelques marches plus haut, les jambes grand écartées me dévoilant sa vulve totalement épilée entre deux cuisses galbées et gainées de nylon. Je me penchais sur elle pour un missionnaire acrobatique mais finalement je dus me résoudre à m'agenouiller sur une marche et lui soulever les fesses pour porter sa chatte à ma tige. Mes 20 ans dont 15 de pratique de l'escrime à haut niveau faisaient ici la différence. Sa légèreté m'aidait beaucoup aussi.

Elle donna un coup de rein pour venir s'empaler sur mon sexe raide au gland gonflé par l'attente. A son passage, elle recommença ses oui et lança des je t'aime. Je la tringlais sans me ménager ainsi, portant son bassin dans mes bras, elle accoudée sur une marche ses jambes autour de mon cou pour s'alléger. Assez rapidement je sentis mon périnée se contracter, mon chibre se tendre. Elle vit que j'allais jouir. Elle me fit alors lâcher prise, me branla en deux allers-retours, puis s'agenouilla une marche plus haute en relevant sa jupe pour me montrer ses fesses toute rondes. Je devais lui éjaculer entre les fesses ordonna-t-elle. Je glissais ma verge entre ses deux fesses en les serrant et lorsque je sentis la première décharge arriver, je guidai mon gland vers son petit anus tout serré. Une semence abondante arriva en quelques giclées. Le plus grand volume de mon sperme était arrivé à bon port mais je m'étais aussi répandu sur sa jupe et ses bas en nylon.

Je me relevai aussitôt pour admirer cette nymphe ainsi agenouillée, en levrette dans un escalier gris, la jupe relevée, la chatte offerte sur laquelle dégoulinait mon sperme tout frais. Elle porta une main à ses fesses et avec un doigt agile ramassait ma semence pour la faire pénétrer dans son anus. Pendant quelques instants, elle se doigtait le cul avec méthode, passant un puis deux doigts qui commencèrent à le dilater. Je compris aussitôt qu'il me fallait retrouver une vigueur. Ce fut facile. Je n’avais guère eu l'occasion de débander face à ce spectacle.

Ballade030Viens, prend moi le cul aussi, me dit-elle. La position ne me satisfaisait pas. Je lui intimai l'ordre à mon tour de se relever et je la plaquai au mur. Elle était obligée de poser un pied sur une marche plus haute que l'autre pied, ce qui avait pour effet de lui écarter naturellement les cuisses. Je me plaquai derrière elle, le pantalon sur les chevilles et je guidai mon sexe sur ses indications. Lorsque je fus au contact de son anus, je donnais un coup de rein qui vint le dilater brutalement. Elle étouffa son cri qui aurait pu remonter jusqu'à l'étage supérieur. Je poursuivais mon avancée aussi loin que possible puis reculais, sans sortir mon gland de l'étau de son anus. J'adorai cette sensation. Ma bite serrée, encerclée comme par une bouche aux lèvres musclées. C'était ma première sodomie.

Je me laissais aller et venir dans ce cul si accueillant pendant quelques secondes ou quelques minutes, je ne sais plus. Ma blonde partenaire prenait visiblement du plaisir. Ses joues étaient pourpres, sa respiration courte. Elle ne cessait de dire des oui, des encore, des je t'aime. Lorsqu’arriva mon second orgasme, je n'étais pas sûr qu'elle en ait eu un mais j'étais incapable de me retenir. Cette fois-ci, sans indication de sa part, je lâchais tout dans son anus, sans en sortir.

Nous restâmes ainsi, moi dans son cul, elle contre le mur, juste le temps de retrouver notre respiration. Ma verge ayant commencé a dégonfler, je la sortais plus difficilement mais je fus récompensé par un long baiser de ma blonde call-girl.

Ce que je garde encore aujourd'hui en souvenir, c'est le plaisir de sodomiser cette jolie fille et le goût particulier de ce langoureux baiser dans un escalier aux murs gris...


A l'inconnue de Nîmes, le 15 août 2008 (version originale).

Zeus.

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Commentaires
Z
Je viens de me rendre compte qu'il n'est pas possible de répondre aux commentaires sur canalblog... je me croyais encore sur over-blog !<br /> <br /> Donc : <br /> <br /> @ lovelywhore et Lou-Eve : bienvenu sur l'Olympe !<br /> <br /> @ Elise et Marc : que d'eau, que d'haut, queue d'O... ;-) <br /> <br /> @ LN : je vous ai reconnu... <br /> <br /> Bises à toutes et tous. Zeus.
L
Voilà, j'ai fait la connaissance de Zeus. Un peu surprise. Un peu conquise. Je reviendrai
M
Une bien belle histoire... qui a fait monter plein de désirs en la lisant. On en espère d'autres toutes aussi charnelles
L
Allez-vous délaisser votre blog comme le précédent :-( ? pourquoi avoir tout supprimé de vos écrits antérieurs ? J'ai ressenti comme un abandon... mais bon ! pas de procès d'intention... vous revoilà et j'attends fébrilement de lire votre musique charnelle... et envoutante. bises.<br /> LN
E
Voilà un beau souvenir de jeunesse,tonique et torride à souhait :-) !<br /> Une gare, des inondations et des débordements jouissifs en tous genres qui,j'en suis certaine te font appréhender les gares d'un autre regard...<br /> J'espère que le hasard fera en sorte que la belle inconnue -non pas du Nord Express mais de la gare de Nîmes- lira ce texte avec la même émotion épidermique que celle que j'ai éprouvée.<br /> Merci et à bientôt !<br /> Bises<br /> Elise
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