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Les histoires de Zeus sont de retour...

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28 octobre 2011

Ma jolie petite Marie...

Ma jolie petite Marie,

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La première fois que nous nous rencontrons, dans cette brasserie de la place Denfert-Rochereau désormais disparue, tu es curieuse de ce que je fais, là, assis au fond, entre un croque-monsieur et un bloc-notes, à observer les lycéennes du quartier. Tu viens à ma rencontre. Tu devrais me trouver naze, ringard, vieux con. Tu fais pourtant semblant de t'intéresser, tu t'asseois en face de moi.

Lorsque je te fais lire ce que j'écris, cette histoire saphique entre une modèle et son photographe, lente nouvelle peuplée de caresses et de frissons, tu veux connaître mon histoire, ma vie. Lorsque je te parle de mon couple, de ma femme, amante, aux plaisirs déclinés tant au masculin qu'au féminin, tu veux la rencontrer. Lorsque je refuse fermement, tu fais semblant de croire que tu ne seras jamais que la jeune fille qu'on saute par un après-midi pluvieux, lorsque les caniveaux et les bourses débordent. Et ce début d'après-midi est justement humide et gris, gris comme ta jupe et ton chandail.

Alors tu sèches ton cours, tu m'amènes chez toi. Il n'y a personne me dis-tu. Pourquoi te suis-je ? De penser que je pourrais me trouver nez-à-nez avec ton père, ta mère ou un vague cousin m'effraie. Mais je te suis. Ta fraicheur, ta jeunesse, tes rires, ton sourire, tout m'enivre. Ta jupe si courte pour un hiver si froid, ton chandail si gris qui te moule si bien ta poitrine si ferme, m'excitent si dur...

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A la lourde porte de ton immeuble, j'hésite. Pourquoi elle ? Pourquoi si facilement ? Pourquoi le doute m'assaille ? Pourquoi je me pose tant de questions ? Un sourire sous ton regard tendre m'appelle à l'aide. Viens me dis-tu. Tu me tends la main. Je l'effleure, elle m'adoucit. Je la baise, tu en ris.

Personne dans ce grand appartement aux allures arméniennes, au passé chargé d'Histoire et d'histoires. Esseulée mais pas abandonnée. Volontaire mais pas têtue. J'hésite encore sur le palier. Tu te moques de moi, as-tu la trouille ? N'es-tu point cet homme, dominateur et viril, celui qui fait plier la volonté des femmes, qui les rend à la merci du premier venu. Elle a lu. Elle a tout lu de moi. Elle me connait bien mieux que moi même. Dans un ultime sursaut de scrupules je délire sur la prétendue dualité de l'auteur, ne pas être ce que j'écris être, vouloir l'être tout en m'en éloignant. Elle me sourit encore, toujours. Elle m'embrasse...

Nos lèvres se joignent, seules, sans aucune aide. Deux êtres débuts, dans un couloir sombrement tapissé, l'un penché vers une proie consentante...

Nous sommes maintenant dans sa chambre, au fond du couloir. Acculé, aucune sortie de secours, je suis pris au piège de ma proie. Suis-je vraiment le chasseur ? Un éclair de lucidité ! Non je suis chassé. Un lapin non ? Je suis chassé pour ma queue blanche...

p35477_4_blogElle n'a jamais fait de photos d'elle, sensuelle, lascive, provocante. Le petit appareil fait ce qu'il peut. Celui qui le tient fait ce qu'il veut. Elle obéit avant même que j'ordonne. Elle devance ses propres désirs et me fait croire que ce sont les miens. Une bretelle tombe, une jupe se soulève, le sourire fait place au rire, les cheveux volent, Marie se lâche. Ma main s'avance, le bouton de sa jupe glisse sous mes deux doigts et libère la laine légère qui s'envole. Rire. Sourire. Mains qui cachent une culotte de coton, simple, banale. Rire, Marie qui virevolte sous l'oeil du photographe, poses qui m'aguichent.

 

Le rire fait place. La photo s'efface. Mes mains caressent ce visage si jeune. Elle en tremble. Ou sont-ce mes mains ? J'embrasse, je rassure, je caresse ses épaules, ses bras. Elle soupire, se rassure, s'abandonne peu à peu comme ses bretelles qui ne retiennent plus sa gorge. Ses seins, fermes, aux larges alvéoles, sensibles sous ma langue, sous le bout de mes doigts qui encerclent ses tétons. Elle soupire, pire, elle gémit.

 

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Allongée, abandonnée, tu n'es pourtant pas encore à moi. Ma peau n'a pas encore pris possession de la tienne. Tu frissonnes, tu te rétractes, tu te relâches... Ton ventre si blanc bat. Ton cœur si jeune bat. Tes cuisses serrées forment un dernier bastion. Assaut de mes mains qui se font si câlines, qui te trompent... tu baisses ta garde. Ta culotte en fait les frais. Tu te ressaisis... mais c'est trop tard. Ta toison en bataille est mon nouveau terrain de jeu. Je l'embrasse, la caresse, la contourne, l'explore. Tes cuisses s'abandonnent alors à ma bouche qui te fouille. Ma langue devient cette arme chaude et humide au service de ton clito et de ta chatte. Ca te plait, tu aimes. Tu te contorsionnes, m'attrape la tête entre tes mains, m'encourage d'une voix soudainement timide qui me susurre de continuer. Tes soupirs deviennent gémissements jusqu'à ces spasmes de ton clito, jusqu'à ce jus brutalement expulsé qui huile ta vulve. Je me délecte et de ta jouissance et de la mienne éminente.

Moi déshabillé, ma verge enveloppée, je m'approche doucement de ta chatte brulante. Et  j'entre...lentement. Tu m'enserres entre tes cuisses. Tes bras m'enveloppent, tes ongles m'arrachent le dos, tes dents attaquent mon épaule, ton cri s'écrase sur ma peau. Mes reins finissent de faire pénétrer ma verge jusqu'à ce que nos bassins se touchent dans la douceur de ton lit. Je me retire, j'entre, j'explore ta chatte qui se resserre contre ma queue. Je sens ton jus chaud et visqueux se coller à nos pubis. Tu es enfin à moi. Je te pénètre, je me retire et te pénètre encore. Ton plaisir monte vite, trop vite. Mais pour rien au monde je ne l'arrêterai. Je n'accélère pas, je te laisse juste venir, à ta façon, à ton rythme. Tu me dis que tu m'aimes... que tu aimes ma queue... tu ne me dis plus rien... tu cries que c'est bon... ta chatte me dit que c'est bon... mes couilles me le disent aussi au moment où elles se vident...p35477_5_blog

Je me redresse alors profitant que ma verge excitée par ce corps jeune et souple reste dure pour t'imposer une suite. Mon regard découvre alors ta chatte et tes cuisses ensanglantées par mon passage, ce premier passage dont tu ne m'avais dit mot. Ton sourire est rempli de larmes, à moins que ton regard ne me sourisse. Alors je reviens sur toi, dans tes bras, pour éterniser cet instant magique où nous étions seuls pour une minute, une heure ou une vie...

 

 

Vendredi 22 août 2008

- Par Zeus

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25 août 2011

Fantasque musique...

 

Sa concentration est au maximum. La Marche au Supplice commence son crescendo. Les violons sont de la partie. Il n'est plus question de la déranger. Elle écoute, se plonge dans la musique. Ses doigts n'ont plus d'ongles. Ils frémissent, se déplacent dans l'air, mimant les gestes qu'elle fera ce soir. Déjà trois mouvements qu'elle est absente de cette chambre d'hôtel, l'esprit trois heures plus tard, mais ce quatrième mouvement est magique. Sa peau se hérisse sur le crescendo initial et à chaque explosion des cymbales. Elle sait que juste après ce sont les violons qui s'emballent. Emballement retenu par un chef...  Roulements de tambour, roulements qui lui parviennent jusque dans son ventre, son bas-ventre, son sexe même.... Elle aime la musique, elle ne vit que pour elle, elle aime l'amour, elle ne vit que pour lui... Elle m'aime... que moi ? Elle soupire sur les forte, retient sa respiration sur les piani. Soupire sous mes caresses, retient sa respiration quand je la pénètre... Mais je ne suis pas là, pas ce soir. Ce soir c'est Euterpe qui l'accompagne, la regarde, lui murmure à l'oreille...


Moment de calme, le Songe d'une Nuit de Sabbat prend la suite... Elle se détend, légère, allongée sur le lit, habillée d'une de mes chemises blanches. Elle se laisse aller au Songe. Ses longues jambes se frottent l'une contre l'autre. Ses mains sont moins précises, elle ne répète plus ses gestes. Elle en prépare d'autres, moins musicaux mais pas moins sensuels. Les cors sonnent. Son corps résonne. Evocation du Diable. Je voudrais la rassurer. Mais je ne dois pas. Je ne suis pas là.


Hera_hotelElle tremble. Ses tétons se raffermissent. Ils pointent désormais au travers de ma chemise. Agacée, elle cherche à les effacer du bout de ses doigts. Les piccolos la harcèlent, elle se défend comme elle veut, elle efface ce qu'elle peut. Mais ses seins restent là, excités. Soupirs angoissés sur les vents qui précèdent les cloches, ces cloches !  Suivies du crescendo des violons et violoncelles, qui l'empêchent de sortir de sa torpeur. Les petites saccades que fera ce soir son archet l'excitent. Ses doigts ne cherchent plus à calmer ses tétons. Pizzicati, ses doigts les titillent, les haranguent.


Les cors reprennent leur marche sabbatique. L'angoisse l'étreint. De ne pas être à la hauteur ce soir ? Non, elle maîtrise. Elle fait corps avec la musique, elle monte crescendo comme ces violons qui accompagnent les vents qui s'emballent. Ses mains toutes entières caressent sa poitrine ferme et si douce. Que j'aimerais être à la place de sa peau !


Les roulements de tambours la font sursauter. Elle a mis une main entre ses cuisses. Par réflexe. Par plaisir. Pas d'archet là. Qu'importe. Elle s'incline, abdique, laisse ses doigts sans ongles s'enfermer entre ses cuisses. Accélération des cordes, accélération de ses doigts qui courent sur les cordes de son violon, qui entoure son clito et l'excite. Accélération de l'archet - ha le voilà lui ! - archet qui lui caresse les seins. Où est-elle ? Sur scène, oui mais laquelle.


Dernier presto, presque prestissimo. Elle chante avec la musique. Elle accompagne le final. Non elle gémit. Si, si, dit-elle. Elle chante ses notes. Mais non, ce sont des oui.


Derniers roulements... tout l'orchestre est là, mouvement final. Elle n'est plus là, couchée sur le côté, les jambes repliées, assagie enfin... elle se lève, me sourit, semble me sourire mais son regard me transperce... Elle s'habille de sa longue robe noire, attrape son violon. Elle est prête. Ce soir sera un grand soir.

 

Zeus.

(version originale 25 août 2008)

21 août 2011

Le Train

Je voyage beaucoup, surtout pour le travail. Europe, Amérique du Nord essentiellement et bien sûr la France. En France je choisis plutôt le train. C'est un espace confiné où se déroulent des tas d'histoires.  Ma première aventure en train je l'ai vécue très jeune. Nous étions bloqués en gare de Nîmes pendant les inondations de 1988... J’étais jeune disais-je! Des kilos en moins, des cheveux longs, un look bon chic bon genre, bref un djeun de l'époque.

349_2832_blogLe train s'était immobilisé dans la gare, cette gare si particulière, perchée sur un viaduc qui traverse le centre-ville. Nîmes est une cuvette, et la ville était remplie d'eau.

Passé l'étonnement, la panique, les coups de fils éperdus pour prévenir des retards (pas de téléphone portable à cette époque et la quasi-totalité des lignes étaient coupées !), tout le monde s'était organisé pour résister à l'impatience. Je m'étais installé en première classe pour écrire confortablement (sur du vrai papier avec un vrai stylo !). Un canon passa à côté de moi. Le genre gravure de mode. Grande, élancée, blonde avec une coupe au carré. Elle s'arrêta au-dessus de mon épaule. Elle portait une jupette à carreau au dessus de bas très fins et un chemisier blanc immaculé. Au bout d'un moment elle me demanda si j'étais écrivain. Je confirmai, elle s'en alla sans un mot.

J'étais blême. On aurait dû engager une conversation non ? Pourquoi était-elle partie ? Un peu plus loin, elle arriva à sa place, dans le sens de marche opposé au mien. Elle se pencha pour fouiller son sac de voyage, sans plier les jambes. Vu la longueur de sa jupe, je fus ébloui par la vision d'une petit culotte tout aussi blanche que son chemisier. Je ne fus pas le seul d'ailleurs, la personne assise devant moi se pencha pour mieux voir. Puis la jolie blonde s'assit et croisa, tant bien que mal dans un train Corail, ses longues jambes, relevant à nouveau une partie de sa jupe.

t_349_2828 (2)Une bonne heure passa pendant laquelle la tournure de mon roman changea brutalement sous l'effet de la blonde, et profitant d'un aller-retour au toilettes, je m'arrêtai à sa hauteur. Et vous, vous êtes mannequin ? Spontanément, elle se déplaça vers le siège près de la fenêtre. Je pris cela pour une invitation à m'asseoir. Elle me raconta alors qu'elle était call-girl. Certes mannequin, cela avait été son rêve, ou comédienne, mais que call-girl la faisait vivre. C'était ma première rencontre avec une poule de luxe, ca ne devait pas être la dernière, mais cà, je ne le savais pas encore. Elle avait été commandée pour un week-end avec une personnalité de Montpellier mais c'était sûr, elle n'y arriverait jamais.

Nous discutâmes un long moment de son métier, du mien (lorsqu'elle apprit que j'écrivais pour une série à l'eau de rose, ça la fit beaucoup rire; fallait bien vivre tout de même!). Jusqu'à ce que, à moment où un ange s'écrasait lamentablement sur notre conversation, ses yeux bleus se firent câlins pour me dire que j'étais drôle et mignon. Je n'avais aucune idée de comment gérer cette situation affolante, mais elle si. Nous nous levâmes, descendîmes du train, la main dans la main. Elle me conduisit dans un endroit dont visiblement elle connaissait bien l'existence. Nous prîmes un escalier de service en colimaçon, ignorâmes les bandes rouges et jaunes non interdisant le passage. Arrivés au niveau de l'eau qui avait envahi le rez-de-chaussée de la gare, elle me dit que personne ne prendrait cet escalier aujourd'hui. Elle l'avait trouvé en cherchant les toilettes.

Bien que le lieu fût inconfortable, je l'oubliais rapidement pour commencer à lui caresser ses cuisses tout en l'embrassant. Elle me rendait la pareil, sa main se promenant sur mon sexe qui commençait à remplir mon slip. Lorsqu'il fut vraiment à l'étroit, elle dégrafa ma braguette et le sortit pour le masser fermement. Je dus la tempérer car à l'époque je n'aurais su me retenir longtemps. Pour la faire patienter, je lui caressais ses fesses par dessous sa jupe et commençait délicatement à lui enlever sa culotte. Mon autre main avait commencé à peloter sa petite poitrine à travers son chemisier. Je sentais bien qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Ces seins n'en avaient pas besoin du reste. Fermes, ils roulaient sous ma main.

J'étais moins porté sur les préliminaires à l'époque que je ne le suis aujourd'hui. Aussi, une fois sa culotte enlevée, je lui glissais  un doigt entre les cuisses pour lui ouvrir sa chatte. Elle soupirait, m'encourageant à poursuivre tandis qu'elle se plaquait à moi. Sa chatte était chaude et déjà bien humide. J'entrai deux doigts en elle, elle gémit. Mon pouce caressait en même temps son bouton sensible, tandis qu'elle m'encourageait de petit oui qui résonnaient dans la cage d'escalier et sur l'eau du lac involontaire.

349_2830_blogElle décida de s'asseoir quelques marches plus haut, les jambes grand écartées me dévoilant sa vulve totalement épilée entre deux cuisses galbées et gainées de nylon. Je me penchais sur elle pour un missionnaire acrobatique mais finalement je dus me résoudre à m'agenouiller sur une marche et lui soulever les fesses pour porter sa chatte à ma tige. Mes 20 ans dont 15 de pratique de l'escrime à haut niveau faisaient ici la différence. Sa légèreté m'aidait beaucoup aussi.

Elle donna un coup de rein pour venir s'empaler sur mon sexe raide au gland gonflé par l'attente. A son passage, elle recommença ses oui et lança des je t'aime. Je la tringlais sans me ménager ainsi, portant son bassin dans mes bras, elle accoudée sur une marche ses jambes autour de mon cou pour s'alléger. Assez rapidement je sentis mon périnée se contracter, mon chibre se tendre. Elle vit que j'allais jouir. Elle me fit alors lâcher prise, me branla en deux allers-retours, puis s'agenouilla une marche plus haute en relevant sa jupe pour me montrer ses fesses toute rondes. Je devais lui éjaculer entre les fesses ordonna-t-elle. Je glissais ma verge entre ses deux fesses en les serrant et lorsque je sentis la première décharge arriver, je guidai mon gland vers son petit anus tout serré. Une semence abondante arriva en quelques giclées. Le plus grand volume de mon sperme était arrivé à bon port mais je m'étais aussi répandu sur sa jupe et ses bas en nylon.

Je me relevai aussitôt pour admirer cette nymphe ainsi agenouillée, en levrette dans un escalier gris, la jupe relevée, la chatte offerte sur laquelle dégoulinait mon sperme tout frais. Elle porta une main à ses fesses et avec un doigt agile ramassait ma semence pour la faire pénétrer dans son anus. Pendant quelques instants, elle se doigtait le cul avec méthode, passant un puis deux doigts qui commencèrent à le dilater. Je compris aussitôt qu'il me fallait retrouver une vigueur. Ce fut facile. Je n’avais guère eu l'occasion de débander face à ce spectacle.

Ballade030Viens, prend moi le cul aussi, me dit-elle. La position ne me satisfaisait pas. Je lui intimai l'ordre à mon tour de se relever et je la plaquai au mur. Elle était obligée de poser un pied sur une marche plus haute que l'autre pied, ce qui avait pour effet de lui écarter naturellement les cuisses. Je me plaquai derrière elle, le pantalon sur les chevilles et je guidai mon sexe sur ses indications. Lorsque je fus au contact de son anus, je donnais un coup de rein qui vint le dilater brutalement. Elle étouffa son cri qui aurait pu remonter jusqu'à l'étage supérieur. Je poursuivais mon avancée aussi loin que possible puis reculais, sans sortir mon gland de l'étau de son anus. J'adorai cette sensation. Ma bite serrée, encerclée comme par une bouche aux lèvres musclées. C'était ma première sodomie.

Je me laissais aller et venir dans ce cul si accueillant pendant quelques secondes ou quelques minutes, je ne sais plus. Ma blonde partenaire prenait visiblement du plaisir. Ses joues étaient pourpres, sa respiration courte. Elle ne cessait de dire des oui, des encore, des je t'aime. Lorsqu’arriva mon second orgasme, je n'étais pas sûr qu'elle en ait eu un mais j'étais incapable de me retenir. Cette fois-ci, sans indication de sa part, je lâchais tout dans son anus, sans en sortir.

Nous restâmes ainsi, moi dans son cul, elle contre le mur, juste le temps de retrouver notre respiration. Ma verge ayant commencé a dégonfler, je la sortais plus difficilement mais je fus récompensé par un long baiser de ma blonde call-girl.

Ce que je garde encore aujourd'hui en souvenir, c'est le plaisir de sodomiser cette jolie fille et le goût particulier de ce langoureux baiser dans un escalier aux murs gris...


A l'inconnue de Nîmes, le 15 août 2008 (version originale).

Zeus.

22 avril 2011

Zeus... le retour

Chers tous et, il faut bien commencer par là, chères toutes, car c'est bien pour vous que j'écris...

Je n'ai pas pu me résigner à vous abandonner trop longtemps même si, pour des raisons valables, j'ai dû m'éloigner quelques temps. Le plaisir d'être lu, parfois d'être apprécié, a été trop fort pour le grand narcissique que je suis. Me revoilà donc...

Le problème est que je déteste faire deux fois les mêmes choses. C'est comme en amour, on prend le risque de se lasser plus vite si on refait les mêmes gestes...du moins avec la même personne.

Donc je vais sans doute enrichir ce blog d'autres choses... quelles choses ? Bonne question. J'y réfléchis. Certains diront que si je réfléchis trop, je vais encore partir loin... Espérons que non. Peut-être qu'au lieu d'enfouir mes réflexions personnelles au sein de mes histoires, puis-je les étaler sous mon propre "je". Peut-être pas. Si vous avez une opinion, je l'a prends.

En attendant de publier des histoires originales, vous allez en trouver quelques unes de mon ancien blog. D'abord pour finaliser la mise en page sur cette nouvelle plateforme pour moi, ensuite parce même si je reviens je n'en suis pas moins fainéant. Si vous en désirez une plus particulièrement, merci de m'en faire part.

Pour celles qui me connaissent, mon adresse mail n'a pas changé.

Bises à toutes (et tous puisque je vois bien que vous insistez, vexés que ce blog vous ignore ;-) )

Zeus.

 

 

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